San Raphael-Buenos Aires nov.2013

Retour ARGENTINE par la frontière cristo redentor, que nous n'aimons pas, mais les autres frontières dans une périphérie de 700kms sont fermées.

Décidemment la Cordillère des Andes ne se traverse pas facilement.

Nous retournons à MENDOZA que nous connaissons un peu et avant de rejoindre BUENOS AIRES, nous faisons un détour par SAN RAPHAEL pour voir nos amis Carole et Franck.

Nous allons profiter du "CANYON EL ACTUEL"

Maintenant 900kms de ligne droite pour rejoindre BUENOS AIRES, d’où nous prendrons l’avion pour revenir en France 2 mois. Arrêt à la laguna Los Lobos à 80 kms de Buenos car on nous a donné une adresse pour garder notre iveco pendant notre absence. La piste pour nous y rendre est un bon bourbier, chose exceptionnelle, il pleut depuis quelques heures. Ce sera notre 2èjournée de pluie en 10 mois… Trop cher pour nous, on regarde de plus prêt la carte routière et décidons de faire une recherche sur la dernière ville avant la capitale à Canuelas.

Nous accostons les gens, visitons un garage trop bas, et rencontrons Fabiena, argentine parlant très bien le Français. Elle nous propose un emplacement dans son jardin. Nous rencontrons son mari. Ils sont charmants tous les deux. Notre iveco sera très bien dans une cours fermée avec 3 chiens. Ils nous proposent même de nous emmener à l’aéroport. Nous décidons de revenir chez eux deux jours avant de partir. En attendant, il nous reste 4 jours pour visiter BUENOS AIRES.

Bonne balade le long des docks, dans les quartiers très animés de « la boca «  et « san telmo », où se tient une énorme brocante le dimanche. On se dirige vers le quartier des affaires, très calme. Et là, je me retrouve aspergée de la tête au pied d’éclaboussures de liquide gluant et puant. Nous regardons au dessus de nos têtes, nous n’y voyons que des climatiseurs… Je m’énerve, j’ai des hauts le cœur. Arrive un couple d’une trentaine qui nous propose leur aide. Les argentins sont très souvent très gentils et serviables. Eric en a aussi sur lui et ils nous aident à nous essuyer. Ils nous conseillent de nous rendre à un hotel pour nous laver, et là en posant le sac à dos, éric le trouve léger. Il l’ouvre et constate qu’ils nous ont piqué la tablette. Nous sommes hors de nous. On s’est fait avoir comme des pigeons…..C’est incroyable. Toutes les astuces sont bonnes, comme nous le confirmerons des argentins. Les vols sont devenus monnaie courante et incessante. Effectivement, nous en faisons les frais…… Nous quittons Buenos aires prématurément pour retourner au calme à la laguna. En cours de route, une argentine d’origine italienne nous invite à son restaurant. Nous faisons tout de même de belles rencontres.

Nous retournons chez fabiena  et fabien et passons deux formidables soirées ensemble.

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