COSTA RICA mars2015
RECTIFICATIF sur la date de sortie suite à notre galère. Sortie réelle le 25.03.2015 et 2100Kms parcourus !
POUR LES VOYAGEURS, VOIR INFO PRATIQUE BAS DE PAGE DU PAYS (numéroté sur la carte)
Frontière : immigration sans problème. Dans tous les pays d’Amérique centrale, ils adorent les photocopies, aussi toujours en avoir plusieurs de la carte grise, passeports. Mais cela ne leur suffit pas, alors, il t’envoie en faire d’autres avec le tampon d’entrée à la « pharmacie » du coin. D’ailleurs, il est préférable d’avoir besoin de copies que de médicaments dans cette pharmacie….Comme ils sont très professionnels, revenu avec ta copie, ils te diront avoir besoin également d’une copie de l’assurance. Une bonne dose de patience et de tolérance est nécessaire.
Nous arrivons par la côte caraïbe, rien que le nom, cela fait rêver (côté est). C’est sûr, le coin est paradisiaque, mais si c’est si vert, il y a bien une raison : l’humidité et la chaleur. Cela a beau être le paradis visuel, il n’est pas si évident d’y vivre. La forêt tropicale humide explose de couleurs, et la vie animale y est aussi très animée. Mais devons- nous toucher à cette branche pour éviter de glisser….araignées, fourmis, chenilles sont ici sur leur territoire. Alors tachons de voir le maximum sans les déranger. Quant aux insectes, moustiques, ils sont maîtres ici et c’est à nous de nous adapter.
Alors est-ce toujours un paradis ?
Tout d’abord, il nous faut bien préparer notre itinéraire car on a été prévenu, le Costa Rica est un pays cher, les parcs nationaux sont très nombreux et très chers. 5fois plus cher pour le touriste !
Côte Caraïbe : Nous arrivons à Puerto Viejo et vu le nombre de touristes nous partons vite nous isoler vers Punta Uva au bord de mer, sous les cocotiers, enfin juste à côté de façon à ne pas s’en recevoir une. Emplacement idyllique, l’eau est superbe, le sable doré. Pas de snorkeling, contrairement à ce qu’indiquent les guides touristiques, la mer est trop agitée. Il faut savoir que les guides ont légèrement tendance à tout enjolivés et là sur le Costa Rica, ils se sont lâchés !
Quelques balades, nous resterons dans le coin une dizaine de jours. Il faut qu’on s’habitue à ne rien faire pour bien s’intégrer au rythme du pays. Bon, on finit par pousser jusqu’à Manzanillo à une dizaine de kms, tout de même, pour faire une marche dans la réserve nationale. Les singes hurleurs nous accompagnent. Sifflements, cris divers hantent cette forêt vierge où prospèrent lianes gigantesques et épiphytes de toutes natures. Le terrain est très accidenté, glissant et comme nous ne pouvons pas nous empêcher de lever notre tête au moindre bruit, nous faisant demi-tour. Nous aurons eu la chance de voir dans cette jungle exubérante de magnifiques toucans au bec coloré, les singes hurleurs faciles à repérer.
Nos amis savoyards nous retrouvent et à nouveau nous passerons quelques jours ensemble, au programme baignade et soirée barbecue. Nous rencontrons également Fred et Laure partis depuis 5 ans avec leurs 2 enfants (www.martinautourdumonde.com) .
Cahuita est une petite ville plus tranquille, les habitants charmants et un accès au Parc National gratuit, un scoop ici. Alors on en profite à fond. Superbe chemin au bord de mer à l’abri du soleil. Les singes capucins grignotent quelques fruits sauvages, ils sont nombreux sur toute cette partie de côte. Nous verrons des paresseux, par chance car ils sont difficiles à observer du fait de leur immobilisme (12 pulsations à la minute…). Ils sont toujours en hauteur à l’abri des prédateurs, mais une fois repéré, nous avons tout le temps pour les admirer. Les mangroves nous permettent de découvrir les spécimens à plumes, sans oublier les serpents.
Nous quittons la côte à Puerto Limon(beau marché sur la route A32). Nous traversons des bananeraies immenses. C’est le moment de faire le plein de fruits. Nous nous dirigeons vers le PN Los Quetzales avec un petit détour vers la vallée d’Orosi, un incontournable d’après les guides( immenses plaines parsemées de villages bucoliques, je me demande ce qu’ont fumé les rédacteurs !!)….rien d’extraordinaire, un pont pas assez large au sud du lac et des difficultés pour trouver un bivouac pour nos deux véhicules. Nous prendrons l’apéro à une place, on se fait déloger, le repas à une autre, on se fait déloger, nous finirons sur le bord d’une petite route ! les petits oiseaux nous berceront.
C’est la région de café, certes, mais loin d’être la seule. Au Costa Rica, dès que tu rentres dans les terres, un peu en hauteur, le café est partout sur les collines.
PN Los Quetzales : Sans rentrer dans le parc, nous admirerons les Quetzals dès 6h du matin.
Le quetzal, oiseau aussi rare que mythique vit dans les hautes forêts tropicales humides. Ils mesurent 35cms auxquels s’ajoute sa formidable traine émeraude (60cm). Difficile à observer, il faut d’abord chercher où ils vont se nourrir (l’avocatier) et avoir beaucoup de chances.
Armer de mon nouvel appareil photo, j’immortalise ce moment précieux. Au final, plusieurs autres quetzals resplendissants aux rouges, turquoises et verts éclatants s’ébattent sous la canopée. Notre regret est de ne pas être seul pour cet instant magique.
Nos amis savoyards nous quittent, leur calendrier étant plus serré que le nôtre. Quel dommage !
10°la nuit, 14° en journée à 2700m. Quel changement ! Du coup, nous sommes frigorifiés. Nous dinons tout de même dehors au pied d’un barbecue comme soirée d’adieu.
Les alizés d’Atlantiques apportent l’humidité de la mer, l’altitude retient la masse nuageuse, la relative fraîcheur condense cela et neuf fois sur dix, tu te retrouves avec un cocktail de pluie battante, d’épais brouillard et de nuages volages. Nous préférons redescendre voir le soleil.
ACEITE COCO : En vente, partout sur le bord de la route. Ce n’est pas de l’huile coco que nous voulons mais des gâteaux coco. Introuvable. Je rage, c’est partout pareil. Les noix de coco sont nombreuses mais ils ne s’en servent pas pour faire des desserts. Quel dommage pour notre palais.
Choc de température, notre cellule ruisselle de partout, les meubles sont trempés. Nous avons 35° à l’ombre ! A nouveau, nous nous régalons les yeux, les fleurs explosent à cette saison, bec de perroquet, oiseaux de paradis…
Les alizés d’Atlantiques apportent l’humidité de la mer, l’altitude retient la masse nuageuse, la relative fraîcheur condense cela et neuf fois sur dix, tu te retrouves avec un cocktail de pluie battante, d’épais brouillard et de nuages volages. Nous préférons redescendre voir le soleil.
ACEITE COCO : En vente, partout sur le bord de la route. Ce n’est pas de l’huile coco que nous voulons mais des gâteaux coco. Introuvable. Je rage, c’est partout pareil. Les noix de coco sont nombreuses mais ils ne s’en servent pas pour faire des desserts. Quel dommage pour notre palais.
Choc de température, notre cellule ruisselle de partout, les meubles sont trempés. Nous avons 35° à l’ombre ! A nouveau, nous nous régalons les yeux, les fleurs explosent à cette saison, bec de perroquet, oiseaux de paradis…
Les baba cools ont envahi la côte, nous nous réfugions à la « playa savegre » N09°23.297’ O084°03.569’en prenant une jolie piste. Nous traversons des palmeraies, les oiseaux sont très nombreux. Quel paradis ce pays.
Nous verrons plusieurs basilics, lézard évoquant un animal préhistorique. Nous sommes seuls sur une plage digne des plus belles cartes postales, sable fin doré, cocotiers.
Je me balade seule et j’entends du bruit partout. Pas trop brave, je fais demi-tour. Je verrai un coati à tête blanche.
Par cette chaleur, nous allons de plage en plage, la baignade est obligatoire pour nous rafraîchir un peu, l’eau est presque à la température de notre corps mais cela fait tout de même du bien.
« Playa Polo seco », bel emplacement de bivouac où nous rencontrons d’autres français en voyage, Monique et André en Iveco également. La soirée sera perturbée par les sanguros, une nouvelle fois. Une centaine de piqûres. Nous avons bon nous couvrir, nous badigeonner, elles nous adorent ces petites bêtes.
Nous trouvons enfin une plage plus venteuse, au nord de Jaco, la Playa Herradura. Nous observons les furtifs vols des aras, ces magnifiques grands perroquets qui sont si souvent l’attraction des zoos. En pleine nature, c’est un émerveillement.
Nous avons rendez-vous. Nous surveillons le calendrier. Entre 7 et 10 jours après la pleine lune, nous pouvons avoir la chance de voir des tortues luth plus au Nord. Nous voulons également voir le Volcan Poas en dehors du week-end, c ’est un PN très visité car le cratère se visite après 20mns de marche seulement. Nous filons donc au Volcan Poas. Le Costa Rica est très habité, où sont nos grands espaces….. mais les paysages, il faut en convenir, sont superbes. Sur la route, en contrebas du pont de Tarcoles des crocodiles énormes.
Nous dormons devant la barrière du parc. Il fait 8° à 20h et il gèlera la nuit. Dès 8h, un bon nombre de voitures attendent l’ouverture……Impressionnant ce monde ! C’est un cratère difficile à voir, les nuages étant nombreux à cette altitude. N’oublions pas que le Costa Rica est coincé entre 2 mers. Et bien, nous sommes chanceux, nous avons un superbe ciel bleu et nous restons en admiration.
Le volcan Poas est à 2704m, le cratère a un diamètre de 1,3km sur 300m de profondeur. Quant aux oiseaux peu d’espoir d’en voir vu le monde qui n’arrête pas de jacasser. Dans cette région caféière, il n’est pas facile de trouver un bivouac . Nous trouverons une petite route sans issue, un bivouac bien tranquille au milieu des caféiers.
Région du Volcan Arenal : On se croirait en Suisse. Les complexes hôteliers sont nombreux, et assez jolis, ils proposent toutes sortes d’activités, découverte de la nature, quad, rafting, hot spring etc . De belles fermes, des pâturages verts, un ciel bleu. Nous espérons à tort trouver du bon fromage, du beurre. Beaucoup d’expats se sont installés dans la cordillère centrale.
La route nord du lac est très jolie sous le soleil et nous nous trouvons un point de chute à Nuevo Arenal pour plusieurs jours avec vue sur le lac. Nous mettons notre corps au repos, nous avons une température plus tempérée. Eric passe sa journée sous l’iveco, une fuite de carburant non résolue par le garage, et moi, grande lessive et cuisine. Pizza, crêpe, moelleux au chocolat, crème, nous profitons vraiment de la température douce 25°. Nous reviendrons à ce lac, mais côté sud, plus ensoleillé, lors de nos problèmes d'opposition sur notre Iveco (bon bivouac sur le parking hotel marina Puerto san luis).
Nous retournons sur la côte pacifique vers la péninsule de Nicoya et le guanacaste, région la plus chaude du Costa Rica.
Encore un bon contraste et en plus, au lieu de nous rendre directement à la mer pour avoir un peu de vent, éric touche un peu le véhicule qui est devant nous en stationnement. Un petit frottement et de la peinture enlevée pour eux. Ils appellent les flics, puis l’assureur. 2h pour faire le constat. Ensuite crevaison, nos pneus commencent à être trop usés. Nous arrivons à la mer à la playa Carrillo, couvert de sueur de nuit. Nous allons nous baigner. C’est un superbe endroit, l’eau est super claire mais la route trop proche de notre iveco. Nous devenons très difficiles. Par contre, aucun coquillage à ramasser. Nous verrons à marée basse de beaux poissons colorés coincés dans les trous d’eau, un vrai aquarium. Et le soir, les couchers de soleil sont très sympa à admirer…
Nous y restons tout de même deux jours, la chaleur nous épuise. Nous trouvons un garage pour faire réparer notre pneu. La chambre à air est morte. Il va être urgent de changer nos pneumatiques. De plus, pas de goudron, que de la mauvaise piste, à 38° à l’ombre, ce n’est pas une partie de plaisir car en plus, elle est fréquentée et poussiéreuse. Nous devons rouler vitre fermé de temps en temps. On n’en peut plus de cette chaleur. On s’arrête à la prochaine plage tranquille, à Playa Pelada. Baignade, baignade et encore baignade. Nous crevons encore ! Eric s’énerve un peu….
Nous décidons de dormir le véhicule tout ouvert, porte de la cellule et vitres de la cabine. Il nous faut capter la moindre brise d’air. Nous mettons à l’abri notre petite fortune et gardons carte bancaire périmée, petit appareil photo, ordinateur mort au cas où.
Le nord de la Péninsule de Nicoya (à partir de Playa Conchal) est très touristique, des américains et des québécois à la pelle. Pour nous, ce sera fini. Nous piquons vers l’intérieur pour gagner le nord du Costa Rica. Toute cette région est sèche, tout est grillé, mais les singes hurleurs trouvent toujours quelques choses à manger car nous les entendons tous les jours.
Nous crevons encore. 2 ans1/2 sans une crevaison et là c’est la 3è ! La chambre à air a fait 2 jours !!!! en ne roulant que 50kms….Nous faisons plusieurs garages pour trouver un prix acceptable. On rechange de chambre à air, et ON CROISE LES DOIGTS.
Au Costa Rica, nous passons beaucoup de temps à flâner au bord de mer. Notre réserve alimentaire diminue, nous allons donc bientôt sortir de ce pays car les prix sont vraiment trop exagérés. Par exemple, les ananas du Costa Rica coute moins chère en France qu’ici. Le kg de pomme de terre, 2 euros etc, etc.
Nous finissons par quelques plages et un camping près de « la Cruz ». Endroit très agréable, de bonnes promenades avec observation de la faune dans cette propriété et wifi.
Nous pensions passé plus d’un mois au Costa Rica, mais la chaleur et notre porte-monnaie nous invite à poursuivre notre chemin.Arrivé près de la frontière, comme nous avons encore une crevaison, nous choisissons de faire demi-tour et retourner à Libéria pour changer deux de nos pneus. Pour une fois, ce ne sera pas trop galère.
Et CORRECTIF :
1 seul poste frontière Costa Rica pour le Nicaragua.
C’est un entonnoir et comme nos formalités ne se font pas dans la simplicité (lire nos mésaventures ci-dessous), nous aurons tout le loisir d’observer que nous ne sommes loin d’être les seuls européens avec véhicule dans le coin. Beaucoup de camping-cars Allemand et Suisse. NOUS SOMMES IMPRESSIONNES. Il est vrai que depuis le Panama, nous en croisons quelques-uns. Rare sont ceux qui vous saluent de la main. Nous qui étions très contents de voir des voyageurs, on s’aperçoit vite de la non-réciprocité. Il est vrai que l’Amérique Centrale n’est pas large, un couloir, donc ceux qui vont dans le sens contraire de nous (nord au sud) se rencontrent souvent et cela finit peut-être par agacer. Bon, bref. Malgré que peu nous répondent, notre ligne de conduite est de klaxonner et appel de phare mais on ne s’arrête plus pour rester seuls au bord de la route à regarder l’autre voyageur filer…..sans le moindre regard.
OPPOSITION SUR NOTRE VEHICULE :
Tout se passe bien au départ pour notre sortie du Costa Rica. Paiement de la taxe 7 $/pers + tampon de sortie sur notre passeport. Pour la sortie du véhicule, là cela se complique. Ils nous indiquent que nous avons une opposition (faite par la police trafic) et que nous ne pouvons pas le faire sortir du Costa Rica. Nous ne comprenons pas !
On nous envoie voir le directeur de la douane. Celui-ci nous dit de revenir demain matin. Nous dormons donc à la frontière. Le lendemain, il ne veut plus nous recevoir ! Comme nous avons eu un tout petit accrochage (un peu de peinture gratté sur un pare-choc d’une vieille voiture, en se garant), on se doute que nos problèmes sont liés à cela. La police s’était déplacée, un agent de notre assurance (obligatoire à la frontière) également, tous les papiers remplis, nous pensions que tout était en ordre comme l’agent nous l’avait indiqué. Un bureau d’assurance se trouvant à la frontière, nous allons les voir, mais ils sont là pour encaisser, et non pour autre chose. Ils ne veulent même pas passer un coup de fil, alors qu’ils sont pendus à leur portable toute la journée. On s’énerve, on insiste. On nous envoie dans un autre bureau. Idem. On nous dit qu’il faut retourner sur les lieux de l’accident pour débloquer la situation !!! Devant leur indifférence, nous n’avons pas le choix. Nous retournons à « Cagnas » à 150kms. Là, nous allons voir la personne qui a appelé la police. Elle nous dit que pour lui tout est en ordre, pas de problème ! Alors comment faire enlever cette opposition ?
On finit par apprendre que l’assurance ne paiera pas. D’ailleurs à la douane, lorsque nous leur avons dit que nous avions une assurance, cela les faisait rire. Pour eux, cela ne sert à rien. Ce n’est qu’un bout de papier. Difficile à entendre pour nous, vous comprendrez. Il faut s’arranger à l’amiable, puis aller devant le juge pour une conciliation et ensuite le juge lèvera l’opposition et il a un mois pour le faire !!
Incroyable. Pour la peinture, on nous demande 200$ (une honte), le véhicule a +20ans...Nous faisons intervenir une personne du lycée(prof. de Français) de la ville pour qu’elle appuie notre demande dans un meilleur espagnol, mais rien y fait.
Pour passer en conciliation, il faut la présence du propriétaire du véhicule, et bien-sûr cette personne travaille à la capitale et ne peut venir. Il nous faut donc une procuration faite par avocat. On n’arrête pas le progrès. Celui-ci nous demande 75$ et il nous faut attendre 4 jours. Epuisés par la chaleur, énervés par leur réglementation, leur comportement, nous partons au Lago Arenal à 30kms prendre le frais et nous ressourcer. Super bon bivouac avec une wifi excellente à l’hotel marina San Luis (N 10°30.518'- O 084°56.145'), d’où nous entendons les singes hurleurs. Daniel Fortin, un français en voyage, viendra passer une journée avec nous, cela nous change les idées. Et c’est fort agréable. Je pense que nos chemins vont se recroiser.
Bon, nous retournons à « Cagnas » pour passer devant le juge. Paperasse, après paiement abusif sous sa complicité, elle nous donne son accord pour que nous puissions sortir du pays dès maintenant. Ouf.
INFO VOYAGEUR1 : très bonne boulangerie française et bon beurre sur la route principale à Cahuita gps : N09°44.109’ – O082°50.873’
INFO VOYAGEUR2 : A 2kms du barrage, nord-est, la Casa del Sonadeur (maison du reveur) vaut une visite. Maison construite en bois de caféier et bambou. Jolies scultures. GPS N09°49.837’ O083°48.328’
INFO VOYAGEUR 3 : Sur la panaméricaine à « Ojo de Agua », après renseignements pris près des guadaparques, nous choisissons de faire route vers « San Gerardo de Dota » au km 80. Difficile de trouver un bivouac pour 2 véhicules. Nous irons au Lodge Los Catarates GPS N09°35.369’ O083°48.010’pour 5 dollars par véhicule. Si la clôture est fermée, il habite à côté du resto Myriam, 100m plus bas. L’emplacement est calme et vous pouvez profiter des balades du lodge. Myriam(sans manger chez elle, nous trouve un guide pour 70 dollars pour 6 personnes . Il est possible de les voir sans guide, car nous les avons vu sur la piste descendant à « san gerardo de dota » à quelques kms du lodge, d’autres touristes avec guide sont stationnés en bord de piste. L’interet du guide est la longue vue.
INFO VOYAGEUR 4 : Volcan Poas : Entrée 15 dollars plus parking obligatoire 3 dollars. Aucun contrôle de billet. Il est possible de ne prendre qu’un billet pour le chauffeur si les autres se camouflent dans le véhicule.
INFO VOYAGEUR5 : A Nuevo Arenal, beau bivouac au calme avec vue sur le lac, robinet d’eau, barbecue possible. Passer le portail et choisir sa place, pas trop près de la salle car qques fiestas. GPS N10°32.226 W084°53.566 .Nous reviendrons à ce lac, mais côté sud, plus ensoleillé, lors de nos problèmes d'opposition sur notre Iveco (bon bivouac sur le parking hotel marina Puerto san luis). Wifi libre excellente : N 10°30.518'
O 084°56.145'
INFO VOYAGEUR 6 : Les plages les plus tranquilles sont sur la Péninsule de Nicoya du sud au nord(spot pour surfeurs) :
-Playa Carrillo : . Il est interdit de se garer sous les palmiers, nous nous garons donc juste à côté, mais du coup un peu bruyant. Mais l’eau est transparente dans cette baie, avec un peu de snorkeling (coté où il y le plus de rocher).
Que de la mauvaise piste ensuite.
-Playa Garza, sauvage. .
-Playa Pelada, petite baie. Il faut avoir un petit véhicule pour profiter de la vue sur la mer. Le soir, pas mal de monde pour le coucher de soleil.
- Playa Ostional, nous ne verrons pas de tortue, mais plage très tranquille.
-Playa Junquillal , palmiers, belle plage, très tranquille. On entend les singes hurleurs.
INFO VOYAGEUR7 : De La Cruz, plusieurs plages très tranquilles avec beau sable et eau claire à Puerto Soley (bien regardé les petits panneaux bois indiquant la plage. Bivouac au bord de la mer), à Playa Papaturro (idem, point gps N11°01.480/ O085°41356), Playa Copal (pas d’accés à la plage en véhicule), Playa Bolanos (bcp plus d’oiseaux car proche de la petite ile, observation de nombreuses frégates à attraper leur repas, gps N11°02.263/O085°43.460), Playa Jobo (un énorme complexe hotelier).
A 5kms de la Cruz, super camping à 5 $/vehicule en campagne, avec observations de la faune : Finca Cana Castilla N11°07.297/O085°35.644
Nous ne faisons pas le Parc Manuel Antonio, celui est très touristique, un zoo….