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ITALIE, les Pouilles

 

 

L'itinéraire suivi : TRACE ROUGE

2e partie 1

Les infos voyageurs seront à la fin de la 3è partie (remontée d'Italie).

LES POUILLES : hum, cette odeur de figues, partout, j’adore.

Nous préférerons la région du Salento. 29 octobre

On y arrive par les lagunes de Lesina et Varano, endroit réputé pour la pêche aux anguilles. On dormira au pied des barques mais nous ne gouterons pas à la spécialité locale car tous les restaurants sont fermés par manque de clients....

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Mais juste avant, nous avons été étonné de voir que la prostitution était bien présente, au bord d’une route loin d’un grand centre, une route bordée de cultures maraîchères, seules, à pied, sans véhicule, aucune habitation en vue....nous en avions vu pas mal aux alentours de Venise mais elles attendaient dans de vieux camping cars.!!!

On est souvent aux aguets car comme nous bivouaquons souvent seul, nous faisons attention aux allers et venus, et au bord de la mer, on est surpris, nuit tombé de voir autant les gens vadrouiller en voiture .....Mais qu’est ce qu’ils font?

En Italie, on a bivouaqué sur un parking d’église et chateau et c’etait a priori un RV de fumette.....et oui, on ne fait pas que des bons coups!

Rien ne sert de longer le lago di Verano, la route est bordée de conifères, aucune vue.

Promontoire de Gargano :

Côte très découpée avec une végétation de maquis, méditerranéen (du thym et du romarin en quantité) et quand le ciel est bleu, c’est magnifique, MAIS

Beaucoup de plages inaccessibles car les complexes hoteliers ou campings rendent les plages très difficiles d’accès! Génial .

Trop d’endroits sont grillagés.

On n’aimerait pas du tout si nous étions en saison touristique. En ce moment, arrière saison et covid, c’est archi calme, ce qui nous permet de nous garer n’importe où et d’avoir accès aux plages et aux falaises.

Les « trabuccos » (qui n’est pas sans nous rappeler les carrelets en Gironde) accrochés aux falaises et les tours sont pleins de charmes.

Aujourd’hui les trabuccos ne sont entretenus qu’à but touristique et c’est bien dommage.

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un très beau bivouac propre!

Peschici et Vieste

Elles sont toutes les deux de vieilles villes blanches (qui rappelle les medinas ) avec des places, des arcades, des ruelles tres étroites, et nous donnons la palme d’or à VIESTE, dont son site historique, certes certainement tres touristique, a su garder son âme.

 

Magnifique du nord comme du sud.

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Soleil, soleil, quelle chance pour parcourir la plus belle partie des Pouilles.

Le top serait de découvrir ce promontoire en bateau !

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Vignanotica-Mergoli indiqué comme randonnée incontournable, sachez que c’est jolie mais tres souvent sous les pins donc vue végétale et peu côtière.

Des oliviers, des oliviers partout et plus on descend vers le sud, les murets de pierre sèche donne une note exotisme. Certaines plantations sont très anciennes, les troncs énormes, vieux pour certains de 2500ans! (C’est ce qu’on a lu!)

It 55It 55 2Nous traversons de grandes zones de maraîchage ( beaucoup de petites parcelles, petits propriétaires), entrecoupées de marécages.

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et des salines les plus importantes d’Italie, à Margharita di Savoia.

Des couleurs incroyablement roses qui se mélangent au bleu de la mer.

Irréel! Mais bien réelle, les micro-organismes présents dans l’eau, selon la salinité donnent ses couleurs. MAGNIFIQUE.

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On vous donne le décors, on vit dans le partage, non : un bord de mer c’est beau et les italiens adorent. Des allers et venus en voiture, à toute heure(mais une grande préférence pour la fin journée et debut de nuit), du jogging le matin en laissant des déchets innombrables de capotes, mouchoirs, paquets de cigarette et sac de mauvaises bouffes, bouteilles....Ils sont dégueulasses.

C’est répugnant. Mais cela n’a pas l’air de les déranger !

On adore les bivouacs bord de mer pour admirer la lune se reflétant sur la mer , mais je crois qu’on va abandonner .....car tous accès en véhicule en dehors des villes sont maculés de capotes et lingettes. Ah ces lingettes, elles pourrissent notre planète, à bannir de nos biens de consommation!

It 58On se lève avec le soleil et TRANI nous a emballé. Elle est surnommée « la perle des Pouilles » et nous avons été charmé. Son vieux quartier de ruelles pavées aux balcons forgés d’où pendent le linge, les arcades des maisons.

 

Son fort du XIII s, construit par Frédéric II, sa majestueuse cathédrale romane en tuf aux lignes épurées et son campanile munie d’une ogive, aux superbes portes en bronze de 1175.

It 60Son port animé, son jardin au bord de l’Adriatique a tout pour plaire.

It 59 1It 59 2Dans le jardin, une colonie de perruches du Brésil s’est installée dans les vieux thuyas. Elles aussi sont bâtisseuses et artistes, superbes nids.

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Toutes les villes près de Bari sont des villes blanches aux tres beaux centres historiques tortueux, souvent avec un bord de mer aménagé. Je ne prend pas de photos des flanquées d’immeubles souvent laids. Et oui, il y a souvent un revers de médaille.

BARI, ville de +300 000hab, mais on y circule facilement. On se gare sur un parking en front de mer près du centre historique concentré (couvent, chateau, basilique, etc, des églises en veux-tu en voilà, mais on sait qu’ils ne passent pourtant pas tout leur temps à l’église.....)

It 64La Basilique Saint Nicoles du XIe s possède une forte portée religieuse à travers l'Europe et le monde chrétien. Elle est un lieu de pèlerinage important, tant pour les catholiques que pour les orthodoxes d'Europe orientale. En ce moment, personne.

It 65 2Le vieux centre est habité et on adore observer la vie des gens (on n’en a pas souvent l’occasion en ce moment, ou les gens se terrent), ça cuisine dehors à l’ombre des murs hauts d’ou pendent le linge.

 

C’est une aventure que de parcourir ces ruelles car tu n’es pas sur d’en ressortir indemne, entre le linge qui s’égoutte, la ménagère qui secoue son torchon, celui qui fume au balcon et jette son mégot, les pigeons qui crottent, les pierres des balcons qui s’effritent.....

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voila pourquoi le linge est parfois protégé d’un plastique.

Nous partons bivouaquer à l’intérieur des terres étant dégoûté du bord de mer.

Des cultures à profusion.

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Polignano a Mare sentier sauvage au nord et au sud de cette charmante petite ville, bordée de maquis méditerranéen, de grottes et quelques trullis (maisonnettes en pierre sèche en forme de ruche coiffés d’un toit conique).

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Petite cité fondée par les grecs où les Maisons blanches sont à raz des falaises battues par les vagues.

Monopoli démarque des autres cités car elle est construite sur une falaise creusée de grottes.

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Vallée d’Itria

Région des trullis et l’info n’est pas de l’intox, il y en a beaucoup, de différentes tailles, habités, loués et en restaurations.

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Alborobella, Locorotondo (très touristique), Cisternino, Ostini, de jolies petites villes toutes blanches, aux murailles chaulées, aux ruelles fleuries, entrecoupées d’arcades, agrémentées de petites loggias et aux ruelles entremêlées. Pleine de charmes.

On donne la palme à « Ostini ».

Aujourd’hui ( samedi 7 novembre 2020),les villes sont désertes, cela ressemble à l’apocalypse où nous sommes les seuls rescapés. Tout est fermé et il est 11h un samedi....16h idem, pourtant on n’a pas eu d’info sur un confinement complet. Bizarre.

Sinistre comme ambiance, nous partons faire un tour en campagne et ramassons roquette, kakis (l’arbre s’appelle le Plaqueminier et a cette période ses feuilles sont rouges) et quelques figues.

It 76Autour de Lecce, presque tous les oliviers sont malades. C’est une catastrophe qui s’attaque à beaucoup d’arbres, la bactérie Xylella sévit depuis 2015. Cette bactérie bloque l’absorption d’eau. Certains arbres résistent mieux que d’autres et on voit aussi de nouvelles pousses sur des arbres qui semblent mort. Le seul traitement connu est l’abattage des arbres!

It 77Les cimetières, quelle omission de ne pas en parler alors qu’ici les cimetières ne désemplissent pas (la Toussaint n’arrange rien!) et pourtant ils sont vraiment laids, de vrais blockhaus , je vais toutefois essayer d’en prendre un en photo pour que vous vous rendiez compte.

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Nous n’allons plus y dormir, ni faire nos pleins d’eau. On trouve régulièrement des robinets d’eau potable le long de la route où les italiens viennent remplir aussi des bouteilles . Bizarre, le réseau d’eau serait différent dans les maisons ou appartements???

Lecce , surnommée la petite Florence avec son campanile le plus haut d’Italie 68m. Tres agréable ville mais là encore ville morte en ces temps. Donc distanciation sociale sans problème ! Architecture tres baroque, ce n’est pas ce qu’on préfère mais le centre historique est très authentique.

20kms au nord d’Otrento, le site archéologique de Roca Vecchia (datant de l’age de bronze, XV siècle avant JC) vaut un détour ainsi que la grotte de la poésie. Site normalement payant mais comme il n’y a personne, on trouve un moyen pour y entrer.

Un sentier longeant le littoral permet d’admirer et de constater que là encore la mer gagne du terrain. La roche calcaire tres friable est sculptée par le vent et la mer et les couleurs de la mer sont incroyables 40.257242, 18.443278.

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On arrive enfin (11 novembre 2020) Et oui, on prend notre temps. Rien ne nous presse et il fait tellement beau dans

Le SALENTO qui gardé ses influences grecques.

La côte escarpée est plus sauvage, ponctuée de tours de guet médiévales.

Les anciens ont laissé de jolies petites cases en pierre et des cultures en terrasses.

Les roches, du vrai gruyère. Les falaises sont très fragiles, les sentiers du littoral se retrouvent dans la mer, les habitations sont donc en retrait ainsi nous profitons pleinement de la beauté de la nature. SEUL AU MONDE.

It 82 1It 82 2It 82 3Otrante mérite un arrêt pour sa vieille ville entouré de remparts, son chateau. La cathédrale bâtie par les normands( ils ont trainé partout!) a la particularité d’avoir un sol recouvert de mosaïque. Sa côte est superbe et un detour à la carrière de bauxite s’impose.

It 83 1It 83 2La route surplombe le littoral, offrant de superbes panoramas ou les roches karstiques se veulent artistes. Les pins d’alep offre plus souvent de l’ombre et les sentiers sont nombreux. On voit même des troupeaux de moutons avec leur berger.

La route est à nous puisque nous sommes presque seuls enfin presque car nous voyons des pêcheurs, les Italiens adorent et à toute heure. Mais pas un bonjour, dans le Salento, les gens sont complètement indifférent, pas désagréable, mais pas un signe, comme si nous n’existions pas. Dans les magasins idem, on nous sert mais pas l’esquisse d’un sourire....dommage!

Par contre pour se dire bonjour, ils klaxonnent .

Une rencontre.

It 85Il fait tres beau surtout le matin aussi le short est de sortie. Quand à se baigner.....pas trop courageux...on trouve toujours un prétexte et les semaines passent....et oui, on n’est pas BRETONS !

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On nous dit que le peu de touristes en route se sont confinés en camping....ah bon....pourquoi? De notre côté, nous continuons notre route à notre rythme puisqu’on ne nous dit rien.

Pose à Porto badisco, Santa Cesarea Terme, Castro, Port de Tricase, Ponte Del Ciolo

Aucun problème de bivouac avec vue imprenable.

Et on adore tous ces murets de pierres sèches.

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On fera une incursion dans les terres pour voir le plus beau village d’Italie « Specchia ». Je ne sais pas si ce n’est pas notre jour mais il ne vaut pas le détour, on n’a rien vu, rien ressenti de particulier....

Aujourd’hui, eric a la tête ailleurs, on roule doucement heureusement, il regarde à gauche et continue de rouler....et je me mets à hurler « stop », on a failli se prendre un gros poteau en pleine face...ouf heureusement qu’il m’écoute ! Et là, on voit de l’eau qui coule sur les côtés de la cellule....notre grande bassine de linge rempli de lessive n’a pas aimé ce freinage brusque et c’est les grandes eaux.

Santa Maria di Leuca est le point le plus au sud des Pouilles. Ville qui paraît être tres agréable.

It 90La côte ionienne est différente avec ses plages de sable fin et donc attire certainement en masse les familles, mais pas en cette période où les plages sont désertes, les énormes parkings vides donc des accès à la mer beaucoup plus facile.

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On ne parle jamais de resto, de bar....tout est fermé à cause du...

De toute façon, le fait d’être obligé de porter un masque nous enlève toute soif et toute faim. On se fait de bons petits plats à la maison...avec les produits italiens, sans contrainte. olives, mascarpone, ricotta, lasagne, charcuterie,etc,etc

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On fera trempette des pieds, et oui quand même !!!!mais comme il n’y a pas de douche publique, on decide de ne pas nous baigner.

Punta della Suina, couverte de maquis méditerranéens, Une balade bien agréable en bord de mer mais le temps est des plus menaçant et on a bien fait de prendre nos ponchos.

Rien n’est prévu pour l’écoulement des eaux pluviales et c’est vite les débordements.

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Le vieux Gallipoli est très joli même sous la grisaille, et on se dit qu’on n’arrivera pas à se mettre à l’abri car là encore, tout, tout est fermé. Voyage tres économique....même pas un petit extra de temps en temps.

Près de Santa Caterina, la Baia di Porto Selvaggio offre de superbes panoramas et de belles randonnées.

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Nous suivons la côte au maximum jusqu’à Tarente, que nous ne visitons pas. Mais nous la traversons facilement et remarquons que le bord de mer est bien aménagé, le très vieux centre, complètement explosé, vide, barricadé se trouve sur la presqu’ile au pied du port et vaut le coup d’oeil,

Pour y arriver, nous longeons le littoral par la 122, un régal à cette époque et nous avons la joie d’observer une cénote, qui nous rappelle bien sur le Mexique.

It 95 1It 95 2Des flamants roses dans une saline au pied de la mer.

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Ah oui, il faut exprimer sa peur pour s’en débarrasser : la mafia c’est connu en Italie, et bien on en rencontre régulièrement, au volant ils sont deja parés à faire de mauvais coups, masqués, à peine si on voit leurs yeux. Ca fait peur!

Nous quittons la mer, avec regret, elle nous offre un tel panel de bleus, on adore l’admirer brillante par le soleil ou par la lune, la nuit tombée, et on ne parle pas des couchers de soleil. Bref, on s’aperçoit qu’on l’apprécie de plus en plus et on a presque le cafard de la quitter. En plus ils annoncent deux jours de pluie...

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On aurait bien fait un tour dans les calabres mais on ne va pas en avoir le temps si on veut être en France pour Noël. Il nous faut remonter.

Massafra surgit sur une terrasse, mais on n’est pas emballé d’avoir une vue sur la zone industrielle de Tarente, certes on voit également la mer.

Belle vue de la gravina di san marco au pied de la vieille ville, mais tout est barricadé, impossible d’y aller en dehors de visite guidé, qui n’ont pas lieu en ce moment. « No comment ». La gravina della madonna della scala, juste à l’extérieur de Massafra est fermée.

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Le lonely nous annonce une région spectaculaire de gorges calcaires.

Alors on les cherche..... « sans visite guidée... » et on les cherche... des demi-tours, des barrières sur des petites routes pas plus larges que l’iveco, où il est impossible de faire demi-tour, bref il y a des jours où c’est sportif!

It 99Mottola, idem, on cherche les gorges...on arrive à un très beau belvédère, je vous passe les détails du lonely des Pouilles (édition 2015) qui commence à nous porter sur le système, bref un endroit sublissimo où on a l’impression d’être gazé par la pollution d’énormes zones industrielles, là c’est peut-être nous qui exagérons....

It 100Et on arrive au village rupestre di Petruscio (40.611089, 17.06462), et là on se croirait à Mesa Verde aux US. Gorge percée de grottes naturelles.

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Nous partons ensuite à la découvertes des églises rupestres datant du Ve au XVe s (oui ce n’est pas tres précis....), bien sur comme tout est fermé, nous n’en verrons que l’extérieur et des photos entre les barreaux, sous la pluie.

San Angelo

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21 nov pluie sans arrêt. Super. Dans l’après-midi, on craque et on enfile les imperméables, 2h de balade et on a semé le grain .

San Nicolas réputé pour ses peintures du XIIe s, lieu ce pèlerinage pour les chrétiens grecs orthodoxes.

Repluie!!! Et faut pas deconner, ils avaient annoncé soleil ! En plus un froid de canard. 11°, je range le short.

Castellaneta a un vieux centre typique « immaculé «  d’où on a une superbe vue sur la gorge.

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Laterza, sous la pluie et la grisaille, elle ressemble à une ville du magrheb.

Nous cherchons la gorge l’une des plus longues d’Europe, 12 kms (lonely), on cherche les points de vue, remarque cela nous réchauffe, et on se rendra à l’évidence, on s’est leurré touts seuls, la plus longue ne veut pas dire spectaculaire....