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Carte san salvador

 

El salvadorEl salvador (634 Ko)    CLIQUER SUR CE LIEN POUR DECOUVRIR NOS BIVOUACS

Précision frontière Honduras et Salvador:

Sortie Honduras : Très facile, rien à payer.

Entrée San Salvador : Attention vous arrivez à une patte d’oie, il faut prendre à droite.

Pour l’immigration, il ne leur faut rien. Cela se fait assez vite. Ils nous ont même donné des cartes touristiques du pays, plutôt bien.

La douane c’est 3kms plus loin GPS :    N13°34.997’ – O087°47.866’, là c’est plus long, mais les gens sont plutôt agréables. Il leur faut 1 photocopie du passeport, du permis, de la carte grise. Et c’est gratuit, du moins ce l’était…

 

 

LA SECURITE : on ne sait quoi penser. Certains nous disent que les « majas »(gangs) existent bien et les tueries sont fréquentes. On nous dit de ne pas dormir en dehors d’un endroit sécurisé. On s’est aperçu que beaucoup était psychosé, qu’il ne fallait pas voir le mal partout. Il est vrai que c’est le premier pays  où on voit les magasins(et non les gargotes)toujours gardés d’un homme armé.

INFO EAUX : nous la prenons aux stations-services, mais faire attention. Ils te disent qu’elle est potable et après avoir fait le plein, elle ne l’est plus.

Donc, un conseil faire le plein d’eau avant le carburant. Ils nous ont fait le coup plusieurs fois.

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D’Alegria, endroit assez agréable, nous allons dans la région de San Vicente, San Sébastien. Nous n’avons franchement pas vu grand-chose côté artisanat, métiers à tisser….Par contre les routes sont agréables, les marchés rendent vivant les villages, et partout un bon accueil.

Nous rejoignons Suchitoto par Cinquera, quelques tronçons de pistes faciles.

 

Eviter la panaméricaine autour de la capitale, beaucoup de circulation et pollution.

Nous n’avons pas fait long feu dans San Salvador, la misère est présente partout, et là, ils sont au bout du rouleau.

 

Lac à Suchitoto, les balades y sont parait-il très agréables. Les prix de la lancha (et non à la personne) sont indiqués. Nous n’y allons pas, trop chaud.

Volcan Salvador, indication dans le détail de notre parcours.

Cerro verde, idem. C’est magnifique. Ici, cela sent l’embrouille dès l’entrée. On a du insister lourdement pour payer le stationnement libianos.

Pour la nuit, cela va de 10$ à 3$.....après négociation si on prend tout de suite !!!! du coup, on a dit non, et on a bien fait car en milieu d’après-midi la brume épaisse arrive. On a bivouaqué un peu plus bas sur un terrain herbeux à plat.

A 11h, ils nous ont rien dit, et le guide et un groupe de 4 personnes sont partis. A 11h08, on se bouge et on nous dit qu’il est trop tard. On pousse une gueulante et un homme de la police touristique nous emmènera sur le chemin pour retrouver le petit groupe. Pas un mot du guide, pas un renseignement, on ne lui donnera rien. On nous demande une participation libre pour le village, en fait c’est à payer au poste des guadaparques. On refuse. Pénible.

On n’a pas fait, mais on nous a indiqué comme un must la Bahia de Jiquilisco. Lancha à prendre à Puerto el Triumpho.

Juayua, petit village agréable. A moins de 4kms, on accède aux Chorros de la Caleta, attention piste raide de fech-fech, pour 4x4 seulement.

Piste en cul de sac, on bivouaque un peu avant le portail grillagé ouvert qui donne accès aux cascades. En arrivant, on nous dit de payer pour le stationnement, qu’il ne faut pas rester la nuit et que l’entrée est payante. Tout est faux, l’entrée est désormais gratuite (confirmé par l’office du tourisme) et tu peux y aller seul. Compter 30mns. C’est très jolie. Nous avons dormi sur place, très calme, mais les pieds dans la poussière.

Les 7 cascades est une autre belle balade mais compter 5heures avec guide obligatoire.

Apaneca : donne accès au lago verde. Contribution volontaire. Nous y dormons. Tranquille comme les autres bivouacs.

Ahuachapan : sur la route des fleurs, mignons villages, où il fait bon s’arrêter. Essayer de trouver bivouac avant Ahuachapan car ici, il fait 10° de +. Nous y sommes arrivés le 1 mai, c’est la grande féria, aussi nous n’avons pas apprécié la ville à sa juste valeur. Nous ne sommes pas allés aux piscines thermales, le monde nous fait fuir. Nous ne donnons pas notre coin de bivouac, un peu trop compliqué, sur les lieux d’une ancienne clinique française….